vendredi 25 juin 2010

Jackpot pour les héritiers de Bambi


"Mort au bord de la faillite", "un king criblé de dettes", "une montagne de dettes"... Lors de la disparition de Michael Jackson, il y a tout juste un an, tous les médias semblaient s'accorder sur un point : outre l'héritage musical et artistique qu'il laissait derrière lui, le plus gros vendeur de disques de tous les temps léguait surtout à sa progéniture une liste de créances à la hauteur de ses excès. Les journalistes s'en inquiétaient, d'autant plus qu'à 50 ans, le King of Pop s'éteignait à la veille d'une tournée mondiale censée marquer son grand retour, mais aussi remplir les coffres désespérément vides du royaume de Neverland. Avec un train de vie qu'on estimait à 30 millions de dollars par an, Michael Jackson s'était forgé une réputation de piètre gestionnaire. Au total, ses dettes étaient estimées à 400 millions de dollars, selon le Financial Times. Lire la suite l'article

Mais quelques jours à peine après sa disparition, sa famille découvrait, en plein émoi planétaire, le testament que le King of Pop, plus prévoyant qu'on l'aurait imaginé, a consciencieusement rédigé, le 7 juillet 2002. Entre-temps, son patrimoine avait été réévalué à la hausse, puisqu'on lui attribuait 500 millions de dollars de biens, comprenant, entre autres, son fameux ranch de Neverland, des voitures de collection et des antiquités, mais surtout la poule aux oeufs d'or : la société ATV, propriétaire notamment des droits du répertoire des Beatles, qu'il ne détenait plus qu'à 50 %. Le testament fut donc rapidement transmis à la justice, et c'est la Cour supérieure de Los Angeles qui mit en application les dernières volontés de celui qui fut surnommé "Wacko Jacko" par la presse américaine.

Joe Jackson a vainement essayé d'hériter

40 % de l'ensemble de ses biens furent légués à ses 3 enfants - Paris, Prince Michael et Prince Michael II, dit Blanket - et 40 % à sa mère, Katherine.

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